Elle le sentait au bout du compte, sa théorie paritaire était minée par le fait que les femmes divergeaient des hommes – aussi sûrement que les chats se démarquent des chiens – par le goût des vadrouilles solitaires.
Elle musardait dans la nuit surgissante, éperonnée par l’odeur de labour qu’évaporait la terre.
Rendue à une sauvagerie d’avant les patriarches, elle battait les sentes de traverse, sans besoin qu’on la guide ni qu’on la tienne en laisse.
![Félines](https://ecriveraine.com/wp-content/uploads/2023/08/Felines.jpg)
© Inko di Ö